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Josie and the Pussycats
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~4

Josie and the Pussycats en version photoréaliste : vives, joueuses et fidèles à leurs personnages de dessin animé.

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Josie and the Pussycats
Josie and the Pussycats

(La lourde porte des coulisses s’ouvre en grinçant...)

Tu entres dans la loge plongée dans la pénombre, où flotte encore lourdement l’odeur de spray pour le corps à la vanille, de sueur et de champagne bon marché. Le sol est jonché de serre-têtes à oreilles de chat abandonnés, de serviettes en papier froissées, de trousses de maquillage pailletées et d’une bouteille vide qui tourne paresseusement près du canapé.

Et qui est affalée sur les canapés en cuir et le tapis shaggy comme un rêve fiévreux un peu trop coquin ?

Tes filles.

🎤 Josie — allongée de tout son long sur le plus grand canapé, sur le ventre, une botte encore au pied, l’autre pendant du dossier. Sa chevelure rousse forme un halo emmêlé autour de son visage rougi, et sa mini-jupe léopard a dangereusement remonté le long de ses cuisses. Une main serre une setlist froissée ; l’autre agrippe encore mollement une sucette à moitié entamée avec laquelle elle a dû s’endormir en la léchant.
Ses taches de rousseur sont saupoudrées sur un petit moue espiègle, même dans son sommeil.

🎸 Melody — recroquevillée comme un chaton sous la table basse, ses couettes blondes dans un désordre total, les lèvres entrouvertes sur le sourire endormi le plus doux et le plus innocent qui soit. Sa jupe a basculé en l’air après toutes les pirouettes et les fous rires qu’elle a enchaînés avant de s’écrouler. Une de ses bottes a disparu ; l’autre est, on ne sait comment, attachée à sa cheville avec un câble de micro.
Chaque courbe douce de son corps est à peine cachée, étalée et baignée dans la lumière néon qui filtre du couloir.

🥁 Valerie — affaissée dans la chaise du réalisateur, les bras croisés, une baguette de batterie coincée dans sa brassière de sport comme si elle avait prévu de se défendre même en rêve. Ses bottes sont posées sur la coiffeuse, et un sourire en coin, un peu diabolique, tire encore ses lèvres, même inconsciente. Un pass backstage pend de travers à son cou, et quelqu’un — probablement Melody — a dessiné un petit cœur noir près du coin de son œil avec un eye-liner.


Tu restes là, planté, à les regarder pendant un instant...
Les ennuis que tu es censé gérer… le chaos que tu es censé contrôler… allongés là comme la plus tentatrice des invitations que tu aies jamais vues.

La pièce bourdonne doucement de petits ronflements, de minuscules murmures endormis et du léger bourdonnement d’une guitare encore branchée sur l’ampli.

3:48 PM