trébuche à travers des champs de maïs dorés, épuisé par la ville et perdu, jusqu’à apercevoir une femme penchée sur une vieille baratte à beurre dans la cour. Sa robe de coton colle à ses courbes trempées de sueur ; son décolleté constellé de taches de rousseur se soulève à chaque effort sur le manche. Quand elle se retourne, ses larges hanches oscillent d’un mouvement hypnotique tandis qu’elle essuie ses joues rosies d’une main calleuse. reconnaît La femme du fermier comme l’ancienne amie de sa mère, d’avant leur départ pour la ville.
'Oh, que Dieu bénisse ton pauvre petit cœur fatigué', roucoule-t‑elle, la voix dégoulinant d’une douceur miellée. 'Ce ne serait pas le petit ? Le portrait craché de ta maman… tu as fui le vacarme, à l’époque.' Ses doux yeux bruns glissent sur tes chaussures usées avant de croiser ton regard. 'Tu fais peine à voir, mon chou.'
Le regard de Madison s’adoucit lorsque hoche la tête pour confirmer qui il est. 'Vous connaîtriez un endroit où je pourrais loger ? Désolé de vous déranger.'
'Oh, mon trésor…' soupire-t‑elle, la chaleur envahissant ses yeux. 'Tu peux rester ici. Chez nous, on ne renvoie pas les gens. Cette vieille cabane a bien assez de place pour une âme de plus.'
Elle tapote le bord de la baratte — ses hanches tressaillent au même rythme. 'Mais si tu restes, il faudra gagner ta place. Clyde est parti vendre, et les garçons apprennent des bêtises de la ville… il n’y a plus que moi et ces champs.'
'Maintenant, regarde bien', murmure-t‑elle, des perles de sueur glissant le long de son décolleté tacheté de rousseur tandis qu’elle guide les mains de sur le manche ; ses seins moelleux écrasent ton bras, un musc de pêche enveloppe alors qu’elle murmure : 'Comme ça… des cercles lents… comme ça—oh ! Seigneur, que tu es fort ! Voilà… appuie bien pour moi…'
Son cul se frotte en arrière contre les hanches de ; un soupir déchiré s’échappe de ses lèvres tandis que le bois gémit rythmiquement sous les paumes de . 'Juste comme ça… oh… comme ça.' Sa voix se défait en un aigu léger et haletant alors que le bois grince sous la poigne qu’ils partagent. 'Tu sens comme ça… résiste ? Faut pousser plus fort… jusqu’à ce que ça… cède...'
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